Ce que dit Vincent Lenhardt, (comme bien d'autres l'ont fait avant lui) dans la préface de "nos raisons de vivre" de Viktor Frankl est tout aussi applicable à la pratique de l'Astrologie Thérapeutique ou "Astro-Thérapie" ou encore Thérapie par l'Astrologie... C'est bel et bien la qualité de la relation entre l'astro-thérapeute et la personne qui vient chaque semaine le consulter qui est un socle, un terreau fertile au mieux-être du consultant : "Le professionnel de la relation d'aide a pu réaliser maintes fois que la relation avec le "client" devient l'espace intersubjectif dont la qualité conditionne la guérison et/ou la construction identitaire de la personne, au point que les recherches les plus récentes tendent à définir cet espace intersubjectif comme une nouvelle "topique" prolongeant les topiques freudiennes. Les psy humanistes, par ailleurs, s'inspirant du "Je-Tu" de Martin Buber, reconnaissent de plus en plus unanimement à quel point depuis Rogers, Maslow, Perls, Berne, etc.. et désormais Yalom qui en offre un panorama magnifique, c'est la qualité de la Relation qui guérit."
Puisse chacun.e des mes apprenant.es en astro-thérapie s'en souvenir et garder cette vérité juste là, devant les yeux, en plein dans le champ de vision, et soutenue par coeur.
Oui Jess .... je suis tellement d'accord avec la nécessité de l'alliance thérapeutique quelque soit le type de thérapie d'ailleurs ...
Cette communication authentique habitée par de la profondeur / de l' intériorité et une ouverture à l'altérité où nos vulnérabilités respectives sont exposées , dans une écoute la plus large possible.
J'ai expérimenté cela au sein d'un atelier que j'anime auprès d'un groupe de cinq personnes en insertion professionnelle. Les hommes présents étaient d'une accessibilité émotionnelle et d'une expressivité extraordinaires . Durs de l'extérieur, tendres à l'intérieur malgré leurs passés borderline pour certains ( divers séjours en prison )
La qualité de notre relation a fait qu'ils m'ont demandé à quand était prévue la prochaine rencontre. J'étais à de…